L’eau, source de santé
Depuis 2001, la Société Eau Vivante s’engage à vous fournir une eau biocompatible – c’est-à-dire compatible avec le vivant – afin de favoriser un terrain de santé optimal et soutenir votre bien-être au quotidien.
Nous prenons soin de l’eau, nous prenons soin de vous
Prendre soin de l’eau, c’est prendre soin du vivant, et avant tout prendre soin de nous-mêmes.
Sur une planète majoritairement composée d’eau, notre écosystème repose sur la pureté de chaque élément pour assurer la continuité et la pérennité de la vie.
L’eau est notre passé, notre présent et notre avenir, et la protéger, c’est protéger tout ce qui vit autour de nous.
Notre engagement :
Nous vous proposons de retrouver une eau de qualité, fruit de recherches qui s’étendent sur plus d’un siècle. L’eau biocompatible (c’est-à-dire compatible avec le vivant) contribue à maintenir un terrain de santé optimal.
Dans notre corps, l’eau remplit trois fonctions essentielles :
Transporter les nutriments et l’oxygène
Éliminer les déchets et toxines
Hydrater toutes les cellules
Pour accomplir parfaitement ces fonctions, l’eau doit posséder trois caractéristiques précises, détaillées dans les travaux de Louis Claude Vincent.
La Société Eau Vivante s’inspire des travaux de grands chercheurs tels que René Quinton, Marcel Violet, Jeanne Rousseau, Louis Claude Vincent, Viktor Schauberger, Jacques Benvéniste, Luc Montagnier…
À l’origine, nous sommes des êtres aquatiques, issus de l’eau, mais nous sommes aussi des êtres dynamiques, électromagnétiques, quantiques et porteurs de vide énergétique.
Cette vision guide notre approche de l’eau, afin de redonner vitalité et harmonie à ce précieux élément.
René Quinton - Nous sommes des Êtres aquatiques, des Êtres d'Eau
Le milieu vital est marin
René Quinton, père de la “Loi de constance générale”, a montré que le milieu vital dans lequel baignent nos cellules – le plasma – est identique au liquide marin originel. Pas étonnant, puisque nous venons de la mer.
Quinton souligne que notre organisme contient tous les éléments présents dans l’eau de mer et met en avant le rôle essentiel des oligo-éléments.
Le corps humain est composé à 70 % d’eau :
Intestin : 75 %
Foie : 73 %
Estomac : 75 %
Cœur : 77 %
Poumons : 80 %
Cerveau : 90 %
Avec 60 à 100 milliards de cellules, et chaque cellule constituée à 99 % d’eau, cela représente environ 22 milliards de molécules d’eau par cellule.
Il est donc évident que le “carburant” de nos cellules est l’eau.
À la fin du XIXᵉ siècle, René Quinton développe sa méthode thérapeutique à base de “plasma marin” et crée des dispensaires marins, qui lui valent une renommée internationale.
Viktor Schauberger et l’eau vivante
Selon Viktor Schauberger, l’humanité doit observer la nature avec humilité plutôt que de chercher à la corriger.
Pour lui, l’eau était “le sang de la Terre” et le support de toute vie.
À travers ses expériences, il découvre que l’eau se dynamise naturellement via des vortex fluidiques, c’est-à-dire des tourbillons.
Dans ce mouvement, il n’y a plus de frottement, mais une accélération qui génère de l’énergie.
Comme il le disait : “Nous devons penser une octave plus haut”.
Ses recherches approfondies sur l’eau, jusqu’à la fin de sa vie, ont conduit à plusieurs applications concrètes :
Un appareil pour obtenir une eau thérapeutique, ou “Eau noble”, qui transforme l’eau stagnante ou usée en eau possédant des propriétés similaires à celles de l’eau de source naturelle, grâce à la dynamisation par vortex.
Des tuyaux spéciaux permettant à l’eau de circuler sans frottement ni résistance dans certaines conditions.
Des machines biotechniques utilisant l’eau comme médium pour mettre en mouvement de l’énergie.
Ces découvertes soulignent l’importance de travailler avec les forces naturelles de l’eau plutôt que contre elles.
Marcel Violet et la bio-dynamisation de l’eau
En 1938, Marcel Violet interrompt une expérience sur les réactions de cultures microbiennes exposées aux différentes couleurs du spectre lumineux. À son retour, il observe des modifications profondes et inexplicables dans les cultures. Intrigué, il poursuit ses recherches et découvre l’existence d’un rayonnement pénétrant, non lumineux, capable d’influencer l’action du rayonnement lumineux.
L’eau exposée à ce rayonnement semble emmagasiner cette énergie, avec des effets bénéfiques sur la santé et la croissance des plantes, rappelant l’action de l’eau d’orage.
Observateur attentif de la nature, Marcel Violet note que les légumes poussent de manière spectaculaire après les orages et que les animaux préfèrent boire l’eau qui ruisselle après la pluie et les éclairs. Ces observations l’amènent à étudier les causes de cette bio-dynamisation naturelle.
De ses recherches naît un procédé de traitement électro-vibratoire de l’eau, homologué en 1957 par l’Académie des Sciences et de Médecine, qui reconnaît que l’eau ainsi traitée peut apporter des éléments favorables à la vie cellulaire.
En restituant à l’eau un champ électromagnétique de très haute fréquence, ce procédé lui confère une structure moléculaire équivalente à celle des eaux biologiques.
Marcel Violet invente ainsi un biodynamiseur d’eau, s’inscrivant dans la lignée des travaux de Stanislas Bignand, connu pour avoir sauvé et guéri des milliers de personnes avant d’être condamné pour exercice illégal de la médecine.
La BioÉlectronique de Louis-Claude Vincent et l’eau biocompatible
En 1948, Louis Claude Vincent met en évidence trois caractéristiques essentielles que doit posséder l’eau pour être biocompatible, c’est-à-dire compatible avec le vivant.
Sa science, appelée BioÉlectronique de Vincent, explique comment l’eau, en répondant à ces trois critères, peut remplir ses trois fonctions vitales dans notre corps :
Transporter les nutriments
L’eau agit comme un taxi dans notre corps. Selon Jeanne Rousseau, collaboratrice de Vincent, l’eau est beaucoup plus importante pour ce qu’elle transporte que pour ce qu’elle apporte directement.Éliminer les déchets
L’eau permet de filtrer et évacuer les toxines. Par exemple, nos reins filtrent environ 160 litres d’eau par jour, transportant les déchets hors de l’organisme.Hydrater notre corps
L’eau assure l’hydratation des cellules et des tissus, indispensable au bon fonctionnement de tous les organes.
Grâce à ces trois fonctions, l’eau biocompatible devient un élément clé de notre santé et de notre bien-être.
La BioÉlectronique de Vincent et l’eau biocompatible
Cette approche scientifique permet d’analyser l’eau selon des critères précis pour déterminer si elle est biocompatible, c’est-à-dire compatible avec le vivant en tant qu’eau de consommation.
La BioÉlectronique s’applique non seulement à l’eau que nous buvons, mais aussi à la santé humaine, animale, à la terre et aux cours d’eau.
Les trois caractéristiques essentielles d’une eau biocompatible sont :
Le pH
L’eau doit être légèrement acide, ce qui permet un bon équilibre pour l’organisme.Le potentiel oxydo-réducteur (Rh2)
L’eau doit être légèrement réductrice. La présence de chlore la rend hyper-oxydante, donc non biocompatible.
Au-delà de tuer les bactéries présentes dans l’eau, le chlore détruit également celles de notre flore intestinale, indispensables à notre métabolisme.La résistivité
L’eau doit être peu minéralisée, idéalement entre 15 et 150 mg de minéraux bruts par litre.
Nous sommes des êtres hétérotrophes, incapables de métaboliser directement ces minéraux. Ce sont les végétaux, êtres autotrophes, qui transforment ces minéraux bruts, nous permettant ensuite de les assimiler via l’alimentation.
Ainsi, une eau respectant ces trois critères devient compatible avec le vivant, soutenant notre santé et celle de l’environnement.
Jeanne Rousseau : pionnière de la Bioélectronique
Dès les années 1940, Jeanne Rousseau, grâce à son sens aigu de l’observation, remettait en question certaines théories scientifiques établies et proposait une nouvelle vision de l’eau et de la vie.
Son intérêt pour les plantes sauvages et le vivant la poussa à créer un laboratoire d’analyses rattaché à sa pharmacie de Candé.
S’appuyant sur des travaux antérieurs (Smosarsky, Charles Laville), elle mesura notamment le pH de différents liquides organiques et observa qu’il variait selon les phases lunaires.
De cette étude naît l’idée que le cosmos entier exerce une influence tourbillonnaire sur le biotope, avec l’eau comme interface indispensable. L’eau apparaît ainsi comme médiatrice d’une dimension suprasensible qui interagit avec la matière.
C’est au cours de ces recherches qu’elle découvre les travaux de Louis-Claude Vincent sur la Bioélectronique. Elle collabore avec lui à partir de 1956, abandonne sa pharmacie de Nantes et fonde en 1961 le Centre de recherche bioélectronique d’Avrillé.
En 1966, elle met au point une technique hydrodynamique appliquée à la balnéothérapie.
Engagée également dans la vie publique, elle devient Maire de Bourgneuf-en-Retz de 1971 à 1979 et est promue en 1977 au grade de Chevalier de l’Ordre des Palmes Académiques.
Elle préside l’Association de la Bioélectronique, qu’elle fonde en 1989, jusqu’à sa disparition en 2012, laissant un héritage scientifique et humaniste considérable.
Jacques Benvéniste : un chercheur hors du commun
Jacques Benvéniste fut un scientifique exceptionnel de la fin du XXᵉ siècle :
Chef de clinique,
Découvreur en 1971 d’un facteur activateur des plaquettes sanguines,
Chercheur à l’INSERM à partir de 1973,
Conseiller du Ministre de la Recherche sous Jean-Pierre Chevènement,
L’un des scientifiques français les plus publiés en immunologie, figurant sur la liste des nobélisables.
Pourtant, sa carrière fut bouleversée par ses travaux sur la mémoire de l’eau. En 1988, il publie dans le journal Nature une étude montrant que l’eau pouvait conserver les propriétés d’une substance même après avoir été diluée au point qu’il n’en reste plus de trace chimique.
Pour donner une idée : après 15 dilutions, cela revient à une seule goutte dans l’océan, mais l’eau garde l’information thérapeutique. Cette découverte apporte un soutien scientifique à l’homéopathie.
Dans son livre Ma vérité sur la mémoire de l’eau, Benvéniste raconte comment ses collègues ont choisi de discréditer ses expériences plutôt que de remettre en question leurs propres certitudes.
Il reste aujourd’hui un symbole du courage scientifique et de la pensée indépendante.
Luc Montagnier : entre science et controverse
Luc Montagnier était un biologiste et virologue français de renom :
Colauréat en 2008, avec Françoise Barré-Sinoussi, de la moitié du Prix Nobel de physiologie ou médecine pour la découverte du VIH, virus responsable du SIDA, en 1983.
Professeur émérite à l’Institut Pasteur et directeur émérite de recherche au CNRS.
Membre des Académies des sciences et de médecine.
Il est devenu connu du grand public grâce au reportage On a retrouvé la mémoire de l’eau, mais cette visibilité lui a valu les critiques de certains pairs, prompts à le présenter comme un opportuniste ou un scientifique “sénile”.
Ses expériences déconcertent même les esprits les plus cartésiens : de l’ADN peut être régénéré à partir d’eau pure, préalablement “informée” par des signaux électromagnétiques numérisés et transmis par email à un laboratoire italien. Ce phénomène, appelé transduction, surprend peu les physiciens quantiques ou les adeptes de spiritualité, mais est contesté par le milieu scientifique traditionnel.
Contrairement à son prédécesseur Jacques Benvéniste, Luc Montagnier a choisi de continuer ses recherches à l’étranger, pour échapper aux attaques et critiques.
En 2010, il annonce sa prise de fonction à la direction d’un nouvel institut de recherche à l’Université Jiatong de Shanghai, en Chine.
La Chine, avec le taoïsme et sa tradition énergétique, offre un contexte favorable à l’étude de l’eau dans sa dimension subtile et énergétique, “proche du Tao” selon Lao Zi.
Sachant qu’une cellule contient 22 milliards de molécules d’eau, elles-mêmes composées d’atomes majoritairement vides, nous sommes en réalité un assemblage de vide constituant la matière.
Cette vision souligne le caractère fondamentalement subtil et dynamique de l’eau dans la constitution de la vie.
Gérald Pollack et le “quatrième état” de l’eau
Les recherches de Gérald Pollack mettent en évidence un état particulier de l’eau, appelé “quatrième état” ou Zone d’Exclusion (EZ), en lien avec la mémoire de l’eau.
Cette eau a la capacité de capter des informations et de stocker de l’énergie, un peu comme une batterie. C’est ce type d’eau que contiennent nos cellules, ce qui explique pourquoi il est essentiel de boire une eau structurée pour favoriser une santé optimale.
Quelques caractéristiques de l’eau EZ :
Densité plus élevée d’environ 10 %.
Charge négative, compatible avec la charge électrique des cellules humaines.
Lumière, eau et énergie cellulaire
Comme les plantes, le corps humain a besoin non seulement d’eau mais aussi de lumière. Les rayons proches de l’infrarouge pénètrent dans la peau et informent l’eau présente dans la zone d’exclusion des cellules, contribuant à la production d’énergie. Les cellules agissent ainsi comme de petites batteries biologiques, selon Pollack.
Lorsque la lumière frappe l’eau de nos cellules :
L’eau capte l’information et initie une forme de photosynthèse cellulaire, transformant l’énergie électromagnétique de la lumière.
L’eau est partagée en zones chargées positivement et négativement, créant un gradient au niveau des membranes cellulaires.
Ce gradient génère un mouvement de l’eau et produit de l’énergie, qui sera utilisée par les cellules pour assurer leur bon fonctionnement.
Ainsi, l’eau EZ n’est pas seulement structurée, elle est vivante et énergétique, participant activement à la production et au stockage d’énergie dans notre organisme.
Marc Henry : chercheur de l’eau et de la conscience
Professeur des universités depuis 1993, Marc Henry a publié environ 150 articles scientifiques, cités plus de 12 000 fois. Il enseigne la chimie, la science des matériaux et la physique quantique.
Ingénieur chimiste (1980), docteur en sciences (1988) et habilité à diriger les recherches (1993), Marc Henry cherche à comprendre l’eau sous tous ses aspects : physique, chimique, biologique et en lien avec les phénomènes électromagnétiques.
Il est également historien des sciences, épistémologue et philosophe, s’intéressant à l’émergence de la conscience en relation avec la physique quantique.
La structure du vivant et le rôle de l’eau
Le vivant s’organise selon des niveaux emboîtés, à la manière de poupées russes :
atomes → molécules → cellules → tissus → organes → organisme.
Les molécules sont des regroupements d’atomes.
L’atome est composé d’un noyau extrêmement petit entouré d’un nuage électronique, et la majeure partie de son volume est constituée de vide. On parle alors de structure lacunaire.
Cette même structure lacunaire se retrouve à des échelles beaucoup plus grandes, comme dans l’univers.
Pour se représenter cette proportion : si le noyau avait la taille d’une orange de 3 cm, l’atome aurait un rayon de 3 km.
Lorsque nous disposons d’une eau bio-compatible, il est essentiel de s’hydrater régulièrement.
Le corps humain est constitué de 60 à 70 % d’eau, et une cellule contient près de 99 % d’eau.
Tout comme nous ne faisons pas le plein de carburant avec n’importe quelle essence pour notre voiture, ne buvons pas n’importe quelle eau pour notre corps.
Pour que notre société retrouve enfin une Eau Vivante, il est crucial de privilégier qualité et vitalité de l’eau que nous consommons chaque jour.